LE MOT DU MOMENT
CONFIANCE
6 Octobre 2016
La confiance fait partie de ces termes qui sont toujours d’actualité. Associée à la notion de respect, elle est incontournable dans l’efficacité et la pertinence des missions que mène le singulariste. Sans elle, l’indispensable proximité de collaboration ne peut se mettre en place.
Il y a l’AVOIR et le FAIRE CONFIANCE.
AVOIR confiance, où quand la confiance en chacune des parties prenantes collaborant sur un projet, quelle qu’en soit la nature, est synonyme de BIEN VIVRE et de BIEN ÊTRE. Elle se doit d’être partagée par chacun. Elle définira une ambiance dont les résultats de la collaboration dépendront en grande partie.
Dans le cadre d’une mission du singulariste, cela sous-entend que les parties prenantes s’engagent à partager toutes informations utiles. Même si certaines d’entre-elles paraissent sensibles ou confidentielles, c’est souvent dans ces dernières que résident, par exemple, les clés de la bonne compréhension d’une problématique.
FAIRE confiance, où quand la confiance dans les savoirs de chacun permet de BIEN AVANCER et de BIEN CONSTRUIRE. Quand des compétences et talents sont associés, il est nécessaire d’allouer une confiance respectueuse aux parcours et expériences de chacun.
Si le singulariste revendique l’importance du questionnement permanent, il a validé que la fluidité et la performance dans le traitement d’un projet dépendent bien souvent d’un respect mutuel des capacités et savoirs de chacune des parties prenantes. Savoir assumer son champ de compétence et faire confiance à celui des autres sont essentiels.
Je conclurai ce premier billet par ces mots de Laurent Gounelle dans “L’Homme qui voulait être heureux” : “Celui qui se laisse arrêter par la première difficulté rencontrée ne va pas loin dans sa vie. Allez, je vous fais confiance.”
Merci et à bientôt.
Le Singulariste